Un peu de philosophie

Daran était assi proche du feu de la plaine. Il parlait avec des gens et d'autre à propo de tout. Actualiter, histoire, baguarre. Puis la discution prit un virage philosophique. Un des villageois se leva et dit haut et fort:

-Le bien et le mal sont deux force distingue, mais seul le bien devrait exister.

Daran sourit. Sans se lever, il prit la parole d'une voix basse pour que tout le monde se taise et l'écoute.

-Le bien et le mal ne sont que deux prétexe servant à s'entre-tuer.

Seria était parmis la petite assemblé;

- Non, tu parles du blanc et du noir. Tu parles de contraire. Mais le bien et le mal ont de forts atouts distincts...

Un autre homme qui était aussi présent se leva à son tour. On pouvait apercevoir plusieurs rides sur son visage et ses cheveux étaient grisonnants. De grosses cernes venaient se rajouter à son allure fatiguer. Il parla d'une voix faible mais tout aussi ferme à la fois.

-La notion de bien et de mal n'est pas interprétée de la même façon par tout le monde. Ce qui peut paraître bien pour une personne peut paraître mal pour une autre. Cela dépend de votre état d'esprit. c'est la même chose pour deux clans en guerre. Alors que le premier diras que l'autre est méchant, celui-ci prétendras la même chose. Il faut garder en mémoire que les gens ont des pensés différente.

Il regarda Daran sombrement. On pouvait voir le poids des années qui pesait sur ses épaules en travers de son regard.

-Les effusions de sangs ne sont pas toujours les meilleures solutions, il faut savoir écouter et comprendre les autres...

Daran interesser par les propo de l'homme lui répondit.

- D'après moi, la notion du bien et du mal a été inventer pour manipuler le monde, car toute action est bonne et toute action est mauvaise. Où parfois si tu veut faire le bien, il faut faire le mal. Donc tu revien au même, la neutraliter.

-Si pour toi, tu crois que ce que tu fais est bien, alors c'est bien. Une autre trouveras peut-être que c'est mal, mais c'est son point de vue. L'homme à besoin d'ami comme d’ennemie car tout le monde n'est pas pareil. Les gens ne sont pas tout le temps d'accord. Alors qu'un Coartatien diras que c'est mal de couper les arbres, un bûcherons diras que c'est bien car c'est avec ça qu'il fait des maisons, le feu, qu'il nourrit sa famille, ect.

Il regarda le ciel et soupira.

-La pensé humaines est très compliquée...

-moi je la comprendrai jamais, mais il faut dire que j'ai eu peu de temps pour l'étudier.

Daran faisait référence à son manque de savoir vivre en communauter. Il faut dire qu'il avait aussi vécu seul pendant cinq ans.

-Exemple. Je ne comprend toujours pas pourquoi les gens se serre la main. C'est stupide, mais vrai.

Daran venait de se rende compte de quelque chose.

-La penser humaine... Pourquoi utiliser vous ses terme? Vous êtes humain si je ne m'abuse?

Il sourit légèrement.

-Oui... oui... Disons simplement que je suis un homme qui est présent depuis assez longtemps pour comprendre certaine choses...

Comme ses jambes commençait à trembler, il se rassit et posa ses main sur ses genoux.

-Les gens ont besoin de trucs pour se comprendre telle que ce serrer la main quand ont se rencontre ou encore se saluer quand on revoit un ami. Il ont besoin de trucs auquel il sont habituer et savent gérer. De petites choses simples et futiles mais quand même.

-La question n'a toujours pas de réponse, si on a la parole, pourquoi ne pas l'utiliser.

-C'est cela que j'essaie de vous dire. Les gens ne communique pas assez. Lorsqu'ils sont contrariés ou en colère, ils ont tendance à se battre.

Seria se dirigea vers l'homme;

- GRAND-PERE

Non cest une blague, reprennons...

- Monsieur? lui dit-elle en lui tapant sur l'épaule

L'homme la regarda gentiment.

-Oui mon enfant?

Cet homme lui était familier...

- Cela vous dérangerait-il si je vous demandais votre nom?..

-Je vis depuis si longtemps que je ne m'en rappelle plus... Alors appelle moi grand-père.

Son regard était pris d'une nostalgie instense

Daran observait la scène. Les mots humain ne pouvait décrire la sensation qui se passe désormait.

-Les mort appelle cette situation la Loika. La mort viant, la mort d'esprit ou encore la mort de mémoire. Rien de pire que l'oubli pour un mort.

Le vieux sourit.

-La vie est un cycle qui se recommence à l'infini... les chose partent pour revenir par la suite. Rien n'est éternel, mais tout reviens.

-Dans se cas j'ai bien hâte au retour des anciens dieux.