Ma maudite vie - Lya

Oui oui^^ je n'oublierai pas. la pauvre Alice! Elle aura le bras brulé à cause de toi!

Pas ma faute si mes gars savent pas se controler.

Grrr! Méchant >.<

- Chapitre 1 - partie 8 -

L'aspiration qu'avait Lya pour une famille était tellement grande qu'elle passait son temps à parler de sa «maman» et de son «papa» qu'elle voyait dans ses rêves. Julianna comprenait parfaitement son message silencieux et desirait pkusque tout donner la seule chose que voulait la gamine.
Une famille.
Des couples venaient de temps à temps à l'orphelinat pour adopter des enfants, mais jamais Julianna ne leur avait présenté sa protégée. La vieille femme voulait trouver la famile parfaite! Une famille qui puisse accepter une enfant plus que spéciale. Cela faisait plusieurs mois qu,elle cherchait une telle chose, pour finalement trouver la famille idéale...

flash back

Ça s'était passé tout juste après midi, pendant que les enfants jouaient à des jeu et que Lya lisait dans sa chambre. Un couple était rentré dans l'orphelinat et c'était Julianna qui les avait acueillit. La femme, de petite taille et aux cheveux bruns, était visiblement ébranlé et son mari, un homme blond aux yeux marons, lui frottait le dos, lui chuchotant des mots d'encouragement à l'oreille.
Une fois installer au bureau de la chef des lieu, c'est à dire Julianna, cette dernière leur demanda de dire ce qu'ils avaient à dire. Ce fut la femme qui répondit, d'une voix tremblante :

-Mon nom est Gabrielle, j'ai déjà une fille de six ans à la maison et souhaite lui donne une soeur. malheureusement, j'ai eu un grave accident il a de cela peu et le magicien-guérrisseur de notre village m'a annoncé que je ne pourrais plus jamais enfanter. Pourtant, je ne veux pas que ma petite chérie sois seule, j,aimerais qu,elle ai une soeur avec laquelle elle pourrait bien s'entendre et jouer tout le temps.

Julianna hocha la tête, comprenant le désir de la Gabrielle. Cette dernière continue :

-Ma petite chérie est très intelligente et accepte tout le monde sans dire quoi que ce sois... elle m'a même dit, avant qu'on la laisse entre les mains de sa nounou pour venir ici, et je cite : «maman, ramène-moi une soeur! Ramene-moi juste une soeur! Même si elle a des entennes, c'pas grave!».

Julianna ouvirt grand les yeux, un sourire grand comme l'univers se dessinant sur son visage. Là voilà sa famille parfaite!

Fin du flash back

la vieille femme leur avait dit d'entendre dans le saon, pour qu'elle ait le temps de préparer la fillette qu'elle voulait leur présenter. Elle s'était aussitôt diriger vers la chambre de Lya pour la découvrir coucher sur le dos en train de lire un bouquin de contes de fées.

-Lyaaaa! j'ai uen surprise pour toi!

-Ah oui!?

-Je vais te présenter à une famille!!

les yeux de la gamine s'était mis à briller.

-Vraiment!?

-OUI!!!!

Julianna se dépêcha donc à lui enfiller une belle robe, celle avaec de la dentelle, et la coiffa avec une jolie queue de cheval haute. Lya prit sa poupée et, sautillant sur place, s'écria :

-Je suis prête!

Julianna lui prit donc la main et l'amena au salon.
Dès que la porte s'ouvrit, Gabrielle se retourna et croisa le regard timide de la fillette. La vieille femme poussa cette dernière à l'interieur de la pièce et y rentra elle même.

-Je voux présente Lya, c'est une jeune fille extrèmement intelligente et très mature pour son âge.

Gabrielle se leva et s'agenouilla devant la gamine, ses yeux révèlant toute la tendresse du monde.

-Bonjour toi, je suis Gabrielle.

Lya fit une révérence comme uli avait apprit Julianna.

-Je suis enchanté de faire votre connaissance, madame.

-Tu peux m'appeller Gabrielle, ma chérie.

Julianna et Lya étaient toutes les deux exité, car cette femme était la première personne qui ne reculait pas devant la jeune fille

-Est-ce que tu voudrais que je sois ta nouvelle maman...?

La gamine regarda sa Juju, celle-ci lui faisant un grand sourire. Elle redirigea alors son regard vers l'homme qui restait assis sur le divant. Il lui adressa un sourire sincère.

-Oui!! S'écria Lya, ses yeux rouges pétillants de bonheur.

HRP Je savais pas trop comment écrire cette scène >.< Ouf! je suis enfin au chapitre deux HRP

HRP Voici une autre bride du passé de Milly, concernant son fils. HRP

Je suis une mère indigne... je ne mérite pas, qu'un jour, l'un deux m'appelle «maman»...
Mais pourtant, je ne les ai pas abandonné par choix! J'y étais obligé! Si je les avais gardé prêt de moi, qu'est-ce que les Wolf leur auraient fait!? Qu'est-ce que mon mari, ce tyran de Henry Williams, leur aurait fait... je ne préfère pas y penser...
... je ne mérite même pas d'y penser...

Mon premeir enfant, je l'ai eu lorsque je n'avais que seize ans. J'étais jeune... naïve... stupide.
Lorsque j'ai compris le pourquoi de mes souffrance physique, j'ai réalise l'énormer bévue que j'avais commise. Que faire? Que dire?
Je suis allée voir ma mère, la Reine Elizabeth avant moi, et lui ai demandé si je en pouvais pas me retirer dans un de nos nombreuses villa. au bord de la mer. Plus inquiète que suspicieuse, elle m'a demandé la raison. Je lui ai répondue que c'était parce que je me sentais un peu dépressive...
Aussitôt, sans que mon amoureux, François Eloi De gaule, et ma meilleure amie/protectrice privée, Anaëlle Wachter, ne le sache, je me suis ramassé eule dans une de nos résidences. Personne n'avait le droit de venir me voir. Mais quand ma mère envoyait un garde vérifier ma santé mentale, j,apparessait toujours vêtue d'une grosse robe de chambre, pour cacher mon ventre grossissant.

J'ai donc accouché seule, dans ce manoir... dans les ténèbres et la douleur... je ne sais même plus comment j'ai pu accomplir un tel exploit.
Lorsque j'ai vu que j'avais un garçon, je me suis sentie paniqué. Comment cela se fait-il que j,ai un fils? Une Reine Elizabeth ne doit pas avoir de fils!! Ou peut-être que c'était parce que cet enfant n'était pas cent pour cent Wolf... cela expliquait sûrement cette apparence lupine...

J'ai donc fait comme dans les contes pour enfants... j,ai mit mon bébé dans un panier d'osier que j'avais-moi-même fabriqué et l'ai mit sur la rivière... le laissant aller au gré du courant...

...J'en avais le coeur déchiré... mon enfant... mon amour...

Je suis rentré chez moi, cette fois-ci réellement dépressive.
À chaque fois que je voyais mon amoureux, je em sentais mal... car jamais il n'allait savoir qu'il avait eu un fils...
De plus, Anaëlle avait été si inquiète pour moi...

Je suis une mère indigne... je ne mérite rien d'autre que la mort...

HRP Pourquoi diable est-ce que j'écris toujours ce genre d'histoire!?!? HRP

HRP À partir de ce chapitre, ce serra Lya qui prendra le rôle de la narratrice. Vous allez aussi remarqué le fait que Lya répête souvent «maman Gabrielle« et «papa Danyel», mais n'oublié pas que, malgré son intelligence hors du commun, la petite reste une enfant. HRP

Chapitre 2 - partie 1

Je savais parfaitement que je ne parlais pas comme une enfant de mon âge. On ne me l'avait jamais dit, mais je le savais très bien.
Peu importe... maman Gabrielle, papa Danyel et moi avons fait connaissance, Juju nous ayant laissé seuls pendant quelques temps. J'aime déjà cette famille... de plus, maman Gabrielle m,a dit qu'elle avait une fille qui attendait chez eux, auprêt d'une nourrice. Leur village se trouvait à une semaine d'ici, minimalement. Il fallait donc rentrer très vite, étant donné que la petite pouvait se sentir triste que ses parents soit partit loin, sans elle. Ils m,ont aussi dit que leur fille n'avait qu'un an de moins que moi.
Comment est-elle? Saura-t-elle m'accepter, moi qui suis différente? mais si elle est comme ses parents, il n'y aura aucun problème... espèront.

Présentement, Juju et moi sommes en train de faire ma valise. Dedans, il y aura mes robes que Juju avait fait pour moi, ma poupée aux cheveux noires, mes livres de contes de fées, un ensemble de dessin et...

-Ça, m'a dit Juju, ce sont des fioles avec mon sang. je t'en mets cinq pour le voyage et je vais t'en envoyer d'autre durant les prochaines années.

J'ai hoché la tête, mal à l'aise.

-Tu dois me promettre que tu ferras attention à toi.

-Mais oui, Juju!

Elle me sourit, tristement.

-Je suis si heureuse pour toi... sauf que ça me brise le coeur de te voir partir...

Je lui fit un calin, retenant mes larmes.

-Ne t'inquiète pas, Juju. Tu sais que je t'aime et que je t'aimerai toujours.

Nos adieux avaient duré une heure, ensuite, nous avons été obligé de nous séparé. Lorsque je suis rentré dans la cariole, avec maman Garielle et papa Danyel, je me suis dit que ça me faisait mal de partir... mais aussi que ça me rendait heureuse d'avoir enfin une famille.
pendant le voyage, j'ai fait un dessin à maman Gabrielle : c'était un papillon sur une fleur.
Elle l'a trouvé magnifique... et elle était profondément sincère. La preuve? Elle en a pleuré... de joie.
Après une semaine et quatre jours de voyage interminable, nous sommes enfin arrivé.
C'était un grand village, avec un chêne centenaire en son centre. Maman Gabrielle m'a expliqué que cet arbre avait été planté par le fondateur du village.
Nous nous sommes dirigé vers leur maison, à coté d,elle se trouvant une forge. C'était papa Danyel le forgeron du village... ce qui expliquait ses gros bras...
Maman Gabielle a ouvert la porte principale de la maison et a criée, d'une voix des plus joyeuse : «ALIIICE!! MA CHÉRIE!!!! NOUS SOMMES REVENUE AVEC UNE GRANDE SOEUR!!!!»

Aussitôt, j'ai entendu des petits pas venir vers nous et quand j'ai vu cette petite tête blonde et ces yeux marrons... je n'ai pu retetir un élan d'amour fraternel.

À suivre...

Chapitre 2 - partie 2

La petite Alice m'arrivait à la poitrine, son corps était fin et menu, sans pour parler de ses grands yeux marrons, qui me comtemplaient comme si j'étais normale. Elle m'a sourit, et j'ai sentit mon coeur se réchauffer.
Ses cheveux, blonds comme le blé, étaient attaché en deux jolie petites tresses, lui arrivant aux épaules. Elle était habillé avec une robe de paysanne, beige et brune, et dans sa main droite, elle tenait une poupée à son image.
Maman Gabrielle m'a sourit lorsque je me suis retourné vers elle et s'est ensuite adressé à sa fille.

-Alice, je te présente Lya. C'est ta nouvelle grande soeur.

La réaction de ma cadette m'a surprise...
...elle m,a prit dans ses minuscules bras et a murmuré, le sourire se ressentant dans sa voix :

-Toi et moi allons être les meilleures soeurs de monde!

C'était la première fois qu'une personne de mon âge réagissait ainsi, en me voyant.
J'en ai pleuré.
____________

La maison avait déjà été préparé à ma venue : J'allait dormir dans la même chambre qu'Alice, dans un lit à coté du sien. Lorsque maman Gabrielle et moi avons défait ma valise, alors que la petite nous survellait, accroché au dos de sa mère, ces deux dernières ont vu le livre de contes de fées.

-Tu sais lire? M'avait demandé Maman Gabrielle.

-Depuis très très longtemps.

Elle a été surprise, mais n'a rien dit. juju lui avait-elle expliqué ce que j'étais...?

-Ça veut dire que grande soeur va me raconter des histoires!?!? S'était exclamé Alice, toute excité.

-Bien sûr. Lui ai-je répondu.

Alice sautait partout après cela, ayant déjà hâte que je lui raconte des histoires.
je l'adore déjà...
___________

Avant de se coucher, j'ai lu un conte à Alice, comme promis. pendant la lecture, j,ai troucé cela bizarre qu'une fillette comme moi de sept ans raconte puisse lire à une gamine de six ans... c'était une drôle d'image.
mais quelques choses m'inquiétais... lors du souper, maman Gabrielle et papa Danyel n'ont rien dit lors qu,ils ont vu que je ne mangeait que du pain...
Juju leur avaient surement dit quelque chose...
présentement, c,est la nuit et je suis insomniaque, surement trop excité à l'idée d'une auyre jorunée avec ma... ma petite soeur...
Alice était ma petite soeur... et moi j'étais la grand soeur...
Dans son lit, ma cadette a bougé.

J,ai tourné la tête vers elle et me suis-je apperçu qu,elle pleurait durant son sommeil. Elle devait faire un cauchemar...
Elle a fait un mouvement, comme pour écarter quelque chose de son bras. Sa respiration s'est accéléré et je pouvais entendre les battements de son coeur d'ici.
maudites oreilles surpuissantes...
les yeux d'alice se sont alors ouvert et elle s,est levé d'un seul bond. Son petit corps était couvert de sueur et elle a tourné son regard vers moi. Elle a marché vers mon lit et m'a fixé de ses yeux marrons.

-Je peux dormir avec grande soeur?

mes yeux se sont écartillés, mais je n,ai pas pu la rejeter, voyant la terreur dans ses prunelles.
j,ai levé ma couverture et lui ai fait signe de venir.

-Viens...

Elle ne s'est pas fait prier plus longtemps...

À suivre...

Chapitre 2 - partie 3

Nous avons dormis ainsi, collé l'une contre l'autre. Je pouvais sentir le souffle tiède d'Alice contre mon cou et entendre les battements régulier de son petit coeur dans sa poitrine. Cela m'avait prit du temps à s'assoupir, car j,étais beaucoup trop concentré à l'observer.
Elle paraissait si fragile...
Le lendemain, lors que j'ai ouvert les yeux, j'ai été surprise de découvrir Alice en train de m'observer, assise les jambes croisées.

-Bon matin, grande soeur!

Son sourire était si grand...

-Euh... bon... bon matin... tentai-je, incertaine.

-T'es drôle!!

Elle éclata d'un rire cristallin.

-Ce qui veux dire? Me renfrognai-je.

-tes ch'veux sont tout drôle! Y sont dans tout les sens!

-Oh...

Je bougeais beaucoup la nuit...

-Maman m,a dit de te dire qu'aujourd'hui, nous allons te montrer le village!!

j,ai secoué la tête, cachant mon excitation aux yeux d'Alice. je l'ai aidé à enfiler sa robe brune de paysane et ai mit la mienne, qui avait été confectionné par Juju. Nous sommes descendu en bas pour prendre le petit déjeuner. Maman Gabrielle n'a encore une fois rien dit sur ma faible alimentation.
Alice a alors regardé autour d,elle et a ragarder maman Gabrielle.

-Papa est où?

-Ton papa est déjà parti travaillé à la forge, ma chérie.

-Ah bon...

Après, nous nous sommes promené dans le village (qui était aussi grand qu'une ville) et maman Gabrielle m,a conté l'histoire de l,endroit.

-ce grand village a été fondé il y a de cela deux cent ans par un monsieur qui cherchait un endroit pour s'installer avec sa famille. Pour faire plaisir à sa femme et à ses enfants, il a planté cet énorme chêne en plein milieu du village. Dit-elle en me pointant l'arbre gigantesque. Depuis, cet arbre n,a jamais montrer de signes de faiblesse. Ses feuilles sont toujours vertes et il ne cesse de grandir.

elle m'expliqua que tous les résidents du village adoraient cet arbre et qu'elle même aimait s'asseoir à son pied pour lire un bon livre.
Vers la fin de notre promenade, elle m'a pointer un petit établissement en pierres grises.

-Ça, c'est l'école. Là-bas, il a ce qu'on appelle «la classe». les enfants peuvent y apprendre plein de choses interressentes. mais comme la plupart des enfants apprenent le métier de leur parent, il y a en peu qui y vont. Ainsi, la classe contient des enfants de tous les âges, d'environ cinq à douze ans. Il y a une autre école pour les adolescents, qui est situé juste à coté.

Elle m'a pointé un autre établissment, celui-ci fait de pierres brunes.

-Demain, toi et Alice irez à l'école. Tu vas voir, tu vas te faire pleins d'amis!!

Ah oui...? Ça m'étonnerait...

Chapitre 2 - partie 4

Leur réaction ne m'a pas étonné... j'aurais pu tous les tuer, mais je me suis retenue... comme d'habitude.
Lorsque je suis rentré dans la petite école, le lendemain, tous le autres enfant se sont retourné vers moi, le regard emplit d'une détresse qui m'était familière. Alice a gambaddé jusqu'à son banc et m'a fait signe de venir s'asseoir à coté d'elle. Plus s'avancait et plus je sentais la terreur s,emparer de moi. Pourquoi me regardaient-ils ainsi? Était-ce à cause de mon apparence physique inhabituelle? Ou a cause que je dégageait réellement une aura qui semblait signifier «dégagez ou je vous arrache la gorge»?

-T'es qui toi? Me lança un gamin d'environ dix ans.

-La ferme, Xavier! Murmura une gamine.

-C'est Karin qui va nous la présenter! Dit un autre.

Karin devait être la maîtresse de classe...
Le dénommé Xavier me fixa d'un regard remplit de haine.

-T'as l'air d'un démon!

Je ne devais pas m'énerver, pas ici.

-Ta yeule, Xavier! cracha un jeune, d'environ onze ans.

-De quoi j'me mêle? Répliqua l'interpelé.

-T'es pas obligé d'dire tout c'que tu pense à voix haute!

Xavier s'est levé et s'est dirigé vers son ainé.

-Tu veux que je te...

Avant qu'une bataille générale n'éclate, Karin est finallement arrivé et a tapotté sur l'épaule de Xavier.

-Vas t'asseoir et je te puni!

Il a grogné et est retourné sur son banc.

Karin m,a vu et a semblé ébranlé pendant un instant. Elle a faussé un sourire et et m,a salué d'un mouvement de tête, pour ensuite me dire :

-Gabrielle m'a parlé de toi, sois la bienvenue ici.

Elle s'est retourné vers les autres enfants

-Je vous présente Lya, elle vient tout juste d'être adopté par la famille d'Alice.

Xavier a marmonné : «En plus d'être un démon, c'est une orpheline...?»

-XAVIER! A crié Karin.

-Désolé...

Les orphelins ne devient pas être apprécié dans le coin...
je me suis retourné vers Xavier et lui ai offert un regard sans émotion.

-Je suis enchanté de tous vous connaitre. Surtout toi, Xavier.

Devant ma façon mature de parler et mon faux sourire, tout le monde dans la classe a fait un bond...
...Xavier semblait horrifié...
...Et j'en étais un peu fière...

Chapitre 2 - partie 5

je pouvais sentir Xavier fulminer sur son siège. J'avais l'impression que si je me retournais, je remarquerais qu'il me fixait d'un regard purement haineux.
Je m'en balançais.
Karin a alors tapé des mains et a prit un livre qui trainait sur son bureau.

-Aujourd'hui, nous allons pratiquer notre écriture et notre lecture.

Xavier a grogné.
j'aurais voulu lui arracher la gorge.
Mais je ne l'ai pas fais...

-Lya, a dit Karin, connais-tu certaines techniques d'écriture?

-Bien sûr, je sais déjà lire et écrire. Je le faisais à l'âge de deux ans.

Il y eu un froid dans la pièce. J'avais oublié que ce genre d'informations pouvaient terrorisé les gens normaux...

-Wow! C'est merveilleux!! S'est exclamé Alice, impressionné. Moi, je ne sais lire que les lettres A, B, C, D et E!

Pourquoi venait-elle de réagir ainsi? Elle le savait déjà, pourtant... ou tentait-elle de réchauffer la pièce...?

-Bon... euh... peux-tu nous lire un paragraphe de ce livre? A demandé Karin, le regard vitreux.

-Bien sûr...

J'ai pris le livre et l'ai ouvert. Karin m'a montré une page et m'a dit de lire le paragraphe que je voulais.

-«J'aime ma maman car...»

Je me suis arrêté net, mes mains se mettant à trembler. la maitresse a réalisé son erreur de m'avoir donné cette pâge et a aussitôt reprit le bouquin.

-Pardonne-moi, Lya, je ne voulais pas...

-Ce n'est pas de votre faute...

Alice m'a effleuré la main, soucieuse. Je lui ai souris et, au même moment, j'ai entendu Xavier ricaner.
Je lui ai lançé un regard noir.
Il s'est automatiquement tue.

Après les heures de classes, Alice et moi sommes retourné à la maison.

-Lya?

-Oui?

Ses yeux bruns étaient songeur.

-T'sais que j't'aime beaucoup?

Cela ne faisait que quelques temps que j'étais ici et déjà elle me disait une telle chose...?

-Oui... je sais...

-J'veux pas qu'tu pleure...

-Pouquoi dis-tu cela?

-J'sais pas... fallais que j't'le dise...

Pour le restant du trajets, nous avons marché main dans la main.

Chapitre 2 - partie 6

Le temps passa ainsi, moi correspondant toujours avec Juju, Alice me défandant contre les autres enfants et Maman Gabrielle et Papa Danyel ne disant rien sur mon alimentation limité...
Désormais, j'ai neuf ans, Alice en ayant huit. Maman Gabrielle nous a amené à la rivière pour se baigner. Bien entendu, nous restions sur le bord, étant donné que nous ne savions pas nager.
C'était amusant.
Ça l'était... jusqu'à ce qu'Alice perde pied de la roche sur laquelle elle était perché.
J'avais le dos tourné et je n'ai entendu qu'un énorme «ploush». Maman Gabrielle, qui était sur la berge, a crié en à briser du verre. je me suis retourné et j'ai réagie sans réfléchir.
J'ai plongé à son secours. J'ai réussi à lui empoigner la main, mais le courant était trop fort... il m'a emporté moi aussi.

Il fait sombre...
J'ai l'impression que mon corps est balancé en tout sens.
ma gorge me fait mal.
Je n,ai plus d'air...
Aidez-moi...
S'il vous plait...
Alice...
Alice!
Mon Dieu, où es Alice?
Est-ce que je l'ai sauvé?
Alice!
Aidez-la!
Je vous en prit!
Il ne faut pas qu'elle se noye...

J'ai senti mon corps se faire soulevé, des pleurs ont résonné et une pression s'est fait ressentir au niveau de ma poitrine.

-Lyaa! Alice!

J'ai entendu la petite voix d'Alice.

-Maman... je vais bien.

Elle a toussoté et j'ai ouvert les yeux.

-Merci mon Seigneur! A soupiré maman Gabrielle.

J'ai craché une bonne tasse d'eau et j'ai fixé ma cadette. cette dernière m'a souris, pour me rassurer.
Je me suis secoué, me débarrassant du plus d'eau possible.
Alice et moi avions faillit se noyer.
Depuis ce jour, j'ai la phobie de l'eau.

HRP Mon cher Daran, ici commence le fameux incendie... HRP

Chapitre 2 - partie 7

Deux autres années ont passé, moi ayant désormais onze ans. Cela faisait quelques années que Xavier, le garçon que j'aurais voulu tuer à plusieurs reprise, avait quitté l'école des jeunes. Il avait, je crois, quatorze ans, et n'avait pas voulu aller à l'école des plus grand. Il devait donc travailler. Et devenez où?

Flash back

-QUOII!?!?

-Eh oui, s'est exclamé papa Danyel. J'ai désormais un apprenti à la forge!

Il tappota la tête de Xavier, content comme jamais. Sauf que le jeune adolescent ne semblait pas l'être...

-Lya? Tu as l'air de ne pas être contente...?

Certain que je ne l'étais pas! Je détestais profondément ce garçon qui avait passé son temps à me ridiculiser en classe!
mais bon, je ne voulais pas casser le bonheur de papa Danyel qui n,en savait rien.

-Ça veux dire que tu vas l'héberger chez nous? Demandai-je.

-Bein sûr, il va dormir dans le grenier que j,ai déjà arrangé à cet effet.

Merde de merde de merde et de re-merde!
Je leur offrit mon plus beau (faux) sourire et pris la main d'Alice dans la mienne.

-Eh bien, je n'ai rien a y re-dire. lançai-je.

Mensonge...

-Parfait.

Papa Danyel quitta la pièce, me laissant avec Alice (qui semblait franchement énervé) et l'imbécile de Xavier. je décidai de m,en aller, mais avant cela, je fixai durement l'adolescent.

-Ne m'adresse jamais la parole. Est-ce bien claire?

-Je n'y manquerais pas...

Fin du flash back

Quelle poisse... mais bon... je devais m'y faire.
J'étais en train de cueillir des pommes, seule, sur la colline, non loin du grand village. je pouvais voir ce dernier avec une vision de plongeon... c'était magnifique...
Mais je ne le regardais pas, trop occupé à choisir les bonnes pommes. je fredonnais une chanson qu'Alice et moi aimions beaucoup, une berceuse pour enfant.
J'entendis alors un énorme bruit d'explosion, puis un autre et encore un autre.
Ça venait du village.
Je me suis retourné, et j'ai contemplé, comme une vision d'horreur, plus de la moitié du village en train d'embraser.

Le feu...

Mais le pire, c'était que la partie qui brulait, était la partie dans laquelle se trouvait notre maison...

La partie où se trouvait Alice en ce moment...

À suivre...

^^

Ton personnage a quel age environ pour que je puisse mêttre tout a jour dans mon histoire.

HRP Lya a, présentement, dix-huit ans. Quand l'incendie survient, elle a début onze ans. HRP

ok sa veut dire que moi j'avais 20

Chapitre 2 - partie 8

La terreur s'étais emparé de moi à la vitesse de l'éclair. Je ne comprenais pas... pourtant, il a de cela quelques secondes, rien ne laissait présager qu'une telle horreur allait survenir dans le grand village...
Je ne pris même pas le temps de me poser d'autres questions... j'échapai mon panier de pommes par terre, attrapai les pands de ma jupe trop longues et partie aussitôt au pas de course en direction de la mini cité. J'avais le coeur au bord des lèvres et avais de la difficulté à ne pas trébucher tellement mon corps était secoué de terribles soubresauts.

-ALICE!!!!

Les yeux pleins d'eau, je cherchais ma petite soeur du regard. Tout ce que je savais, c'était qu'elle était dans la moitié du village qui brulait...
Je pouvais entendre des femmes hurler, des enfants se lamenter et des bébés pleurer en à faire fondre une âme.
Pourquoi? Pourquoi cela arrivait-il? Je ne comprenais pas! !e ne comprenais absolument rien à tout cela!
Au travers des voix criardes, j'hurlai encore une fois son prnom tout en continuant a courir en tout sens.

-ALIIIICE!!!!

Mon Dieu, faites en sorte qu'elle soit toujours en vie! Je vous en supplis!

-Grande soeur!

Cette voix enfantine me tira de mes tourments. je me retournai et aperçu une petite tête blonde qui courait vers moi. Alice avait son bras droit emveloppé dans un tissus et ses joues étaient jonchées de larmes.

-Grande soeur!

-Alice!

Je me précipitai vers elle et la prit par les épaules.

-Tu vas bien!? Où étais-tu!? Qu'as-tu au bras droit!?

Elle renifla et me fixa de son regard marons.

-J'peux pas dire que j'vais bien... j'étais dans la forge avec papa et Xavier quand les explosions ont retentis et... eh bien... mon bras est...

Elle ne dit rien et ne fit que me montrer son bras, écartant la couverte... il était complêment brulé... calciné de l'épaule à la main... c'était horrible... dégoutant... je détournai les yeux pour regarder ailleurs...

...Pour appercevoir une silhouette qui me fit gracer le sang. Cette vision de dure qu'une fraction de seconde, amsi je cru voir une paire d'yeux comme les miens ainsi que de court cheveux blancs...
Un frisson me parcouru le corps, mais je préférai ignorer ce sentiment qui me compresait le coeur dans la poitrine.
je me retournai vers Alice et la fixai.

-Allons aider papa Danyel et les autres villageois...

Nous courâmes aussitôt vesr la forge qui fumait, comme de nombreuses habitations...

À suivre...

J'adore la parti du bras bruler

...snif pauvre petite alice....dans ''l'auberge de perfal'' il faudrait organiser des retrouvailles ^^ et si Alice à toujours le bras bruler Gardrill pourait la guérir et lui donner un bras tout neuf ^^

si elle me vois je suis fichu

Chapitre 2 - partie 9

Lorsque nous sommes arrivé à la forge, j'ai pu contasté l'empleur du désastre. Des hommes et des femmes s'affairaient à aider les victimes prises sous les décombres et d'autres étaignaient les flammes avec l'eau venant du puit central du village. J'entendit soudainement la voix criarde de maman Gabrielle qui scandait le nom de son mari. Elle avait une lasserure au niveau du cou et une brûlure à la joue gauche. Deux femmes s'occupaient d'elle, mais maman Gabrielle se débatait comme un diable et criait au désespoire... pour retrouver son mari coincer sous les débris de la forge...
J'en eu un pincement au coeur.
Aussitôt, je sommai Alice de rester à sa place et courru rejoindre les adultes. J'avais beau n'avoir que onze ans, je possédais la plus grande volonté du monde.
Tout en écartant un énorme bout de bois, j'apperçu une main trop petite pour être celle de papa Danyel.

...Xavier...

Je ne réagis pas tout de suite, me disant qu'il ne méritait pas que je le sauve, lui qui m'avait humilier devant toute la classe à de nombreuses reprises...
Mais... c'est quand même une vie...
Sans rien dire à personne sur ma découverte, j'ôtai les trucs qui recouvraient encore son corps et découvrit, à mon soulagement que c'était bel et bien lui.
Je le tirai hors de là de toute mes forces et parvint à rejoindre un espace intact.

-Venez m'aider!! Criai-je.

Une vieille femme vint me rejoindre, suivit d'un jeune adulte au visage balafré. Un guerrier? Sans doute...

-Est-ce qu'il respire? Questionnai-je, légèrement inquiète.

L'ainé prit le poul du garçon, aquiscant de la tête.

-Faiblement...

Celui qui semblait être un guerrier épongea son front avec un morceau de tissu mouillé. Soudain, Xavier toussota et ouvrit les yeux.

-Jeune homme, vous êtes un miraculé, commença la vieille femme. Et tout cela grace à cette jeune fille.

Elle me pointa du doigt, l'adolescent paressant choqué.

-Le démon (il toussa)... c'est le démon qui m'a sauvé!?

À suivre...

HRP Une autre bride de la vie de Milly... HRP

Ce salaud... il l'a tué... il l'a tué devant mes yeux... il lui a tranché la tête comme il l'a fait avec François Éloi de Gaule...

Depuis combiens d'années suis-je ici? Emprisonné dans ce sombre cachot, humide et sale? Je ne puis savoir... je suis trop faible pour compter les secondes que je passe dans cet endroit...
Tout ce que je puis comprendre, c'est que ma mère a finit par découvrir ce qui se tramait... ce que tramait Henry William Wolf...
Et elle l'a regretté...
Oh... pauvre maman... comme je suis triste pour toi... comme je pleure, en ce moment, pour ta fin si horrible... Oh... ma douce maman... toi qui m'a tant aimé...

Flash back

J'étais enchainé, comme à l'habitude, au mur, mon dos presque nu colé sur la pierre froide. Mes cheveux, craceux, avait été coupé n'importe comment, une mèche m'arrivant à l'épaule et une autre à mon bassin. J'étais gelé, mes lèvres bleuté étaient complètement sèche et des malaises s'emparaient de moi, de temps en temps.
J'ai alors entendu la porte du cachot s'ouvrit en un énorme grincement. Je fermai mes yeux, craignant une autre scéance de torture.

-Par le Seigneur tout puissant!

Ce n'était pas la voix de Henry... mais celle d'une femme. Une voix que j'aurais reconnu entre mille.
J'ouvri mes paupières, grimaçant de douleur. Ma surprise fut telle que j'en perdit la parole.

-Ma chérie! Mon ange! Mon amour!

Maman...? Ma mère! C'était ma mère!
Elle se précipita vers moi et, de ses mains encore jeunes, malgré ses cent ans, elle caressa ma joue froide.

-Oh... mon ange... j'avais raison! Tu étais toujours bel et bien vivante!

-Maman...

-Ohh... ma tendre fille... je savais qu'il ne fallait pas faire confiance à Henry... mais les autres anciennes Reines ne voulaient pas m'écouter... ton mari nous a fait croire que tu t'étais suicidé, après avoir caché la petite Lya Elizabeth. mais je ne le croyais pas... je sentais que tu étais encore vivante, que ton coeur, froid et brisé, battait encore!

-Maman...

-Ohh... mon angelot déchu... pardonne-moi... pardonne à ta mère la terrible erreur qu'elle a comise... je vais te libérer, ma fille, je vais t'aider et, ensemble, nous allons détruire Henry William!

Une vision s'empara de moi tel un éclair frappe un arbre, lors d'un orage. Je ramassai le peu de force qui me restait, pour l'avertir du danger qu'elle courait, en étant ici.

-Vas-t-en! Murmurai-je.

-Quoi? Qu'as-tu dis, ma fille?

-Vas-t-en... il va venir... je le sens...

-De quoi parles-tu, mon amour...?

Je vis SA tête apparaitre dans l'embrassure de la porte et comtemplai SES yeux avec horreur. Je ne pouvais même pas avertir maman! je ne pouvais pas le lui dire! Tout ce que dont j'avais la force de faire, c'était pousser un faible avertissement. Maman renifla, sentant l'odeur, et me regarda elle aussi, horrifié.

-Oh non...

Trop tard... j'ai vu sa tête roulé plus loin, son corps mince tombant lourdement sur le sol de pierre.
Je vis sur l'épée le sang dégouliné, ainsi que ce sourire sadique se dessiner sur SON visage.

-Les Anciennes ne pourront supporter qu'une deuxième des leurs disparraisse...

Je détestais sa voix...

Fin du flash back

Oh... ma tendre maman... je suis désolé... pardonne-moi... pardonne-moi...