Nik et Seria, La mélodie de l'effroie

Voici mes textes sur l'histoire de Nik et Seria.
Bonne lecture


Voici une petite intro pour vous faire entrer un peu dans l'histoire.


On raconte que, quand deux jumeaux naissaient, il fallait les sacrifier tous les deux, car un d'eux seraient obligatoirement possédé par un démon. Au fil des ans, les gens se fièrent à cette tradition. Mais parfois, certaine mère, aimant trop leurs enfants pour devoir les faire tuer, décidaient de ne faire qu'à leur tête et de les conservé en vie. Elle étaient ainsi exclues par la société et étaient obligées de vivre comme des parjures pour le reste de leur vie, loin de toute leur famille et de leurs amis. La plupart du temps, ces pauvres femmes regrettaient le choix qu'elles avaient faites et revenaient supplier qu'on les acceptes à nouveau. Pour ce faire pardonner, les mères devaient se plier aux exigences des autres et mettre fin à la vie de leur bébés eux-mêmes.
D'autre, toujours aussi têtue, acceptaient leur sort et élevaient les petits être quel venait de mettre au monde du mieux quel pouvaient, seul et sans rien d'autre qu'elle même comme moyen de subsistance pour leurs petits. Malheureusement pour elles, les méfiances étaient fondé et en grandissant, un des deux jumeau devenait une personne démoniaque et sans pitié. L'autre, plus fragile, mourrait généralement au bout de quelque mois, laissant sa mère seul avec un démon.

Chapitre 1 (Je sais, c'est long mais bon...)

Nick essuya la sueur qui lui coulait sur le front. Il regarda ensuite le travail qu'il venait de terminer. L'étable était bien rangé et Ellen, sa mère adoptive, serait sûrement contente de ce qu'il avait accomplie. Les excrément de chevaux était ramassés, les bêtes avaient tous été nourrie, les œufs étaient récoltés et le balais avait été passé. Nick sortit de la petite grange et observa l'horizon. Le soleil était encore bien haut dans le ciel, ce qui lui laissait encore un peu de temps avant qu'Érik, son frère jumeau, ne viennent inspecté son travail. Le pauvre garçon soupira. Son idiot de frère arriverait sûrement à trouver une faille dans le rangement actuel. Érik était capable de trouver des défauts à la perfection même. Enfin bref, on ne pouvait empêcher les chose de se produire. Nick s'assit sur une buche qui trainait près de là et ferma les yeux face au soleil. Que c'était bon. S'il aurait pu, il aurait probablement stopper le temps pour que ce moment ne se termine jamais.
-Aller debout fainéant! Ou sinon ton frère va encore te tomber dessus!
Nick sursauta. Il s'agissait de Séria, la meilleure amie du jeune garçon depuis longtemps, et aussi la seule.
Elle était débarqué chez Ellen à peu près en même temps que Nick. Ses parents avaient été tuer par des loups-garous alors qu'ils faisaient leur prière pour Coart, le Dieu de la nature. La pauvre petite avait réussie à se cacher dans le troue d'une vielle souche moisie. Les bêtes étaient parties sans lui porter attention, satisfaits de leur repas. Devoir subir un telle spectacle à quatre ans l'avait traumatisé à vie. Depuis cette horrible tragédie, elle n'était plus sortit la nuit, ne serait-ce que pour deux secondes.
-Tu m'a fait une de ces peurs. Je crois que j'ai faillis faire une crise cardiaque...
Séria sourit puis tapota l'épaule de Nick.
-Ne t'en fait donc pas, tu ne vas quand même pas me faire une crise de nerf?
Nick se dégagea, un peu contrarié. Il prit sa pelle et commença à creuser pour faire semblant de travailler. Séria, encore souriante, lui fit un clin d'oeil, comme pour lui signifier qu'elle avait compris son subterfuge. Le garçon lui fit une grimace et se retourna, fâché.
-Bon et c'est repartit, encore un problème. Tu sais que tu m'exaspère quand tu fait ça?
Ne l'écoutant plus, Nick continua son « faux » pelletage en donnant des coups de plus en plus fort sur sa pelle. Au bout d'un moment, il frappa si fort que le manche de l'outil se brisa en deux.
-Mince! Maintenant je vais vraiment me faire gronder.
-C'est ce qui arrive quand on écoute pas sa sœur.
-Tu n'est pas ma sœur! Tu est juste une petite prétentieuse qui à la même mère adoptive que moi!
-Bon et puis fait comme tu veux, après tout ce n'est pas moi qui à un frère plus cruel que Mordak lui même!
Mordak était le Dieu de la mort, le pire démon qui existait. Dans le monde, il existait six grand Dieux protecteur. Premièrement, il y avait Suptak, Dieu de la lumière et de la justice, il incarnait toute les bonnes choses présentes en ce monde. Ensuite il y avait son opposé, Mordak. Dieu de la mort et du chaos, Même si il n'était pas interdit de le prier, seul les brigands ou les pires assassins du royaume se dévouait à lui. Il y avait aussi les deux jumeaux, Coart, le Dieu de la nature et Émeraude, la déesse des animaux. Il s'agissait probablement du meilleur exemple de jumeaux qui ont mal tournés. Coart étant totalement neutre et bon, Émeraude elle, était beaucoup plus maléfique et ses disciples était généralement plus sombre. Pour les fêtards profiteurs de la vie, il y avait Nals, ou celui qui apporte le plaisir. Dieu de la boissons et des jeux, tout le monde l'adorait. Pour conclure, il y avait Magadon, Dieu de la magie et des arcanes. On dit qu'il serait né du manque d'efficacité que les humains avaient pour certaine tâche. La magie répondant à plusieurs problèmes, les être vivant l'intégrèrent à leur vie avec grande joie.
Maintenant seul, Nik se pencha pour ramasser le morceaux de pelle qui était tombé sur le sol et alla chercher de la colle à base de sève dans la grange. Il essaya tant bien que mal de rassembler les deux bouts, sans résultat. Il décida donc de cacher la pelle en espérant que son frère ne la trouve pas. Il ressortit ensuite dehors pour essayer de se calmer. Décidément, Séria lui avait vraiment gâché le moral.
-Bah, elle ne devait pas avoir de mauvaise intentions...
Nick se ressaisit et décida d'aller chercher son amie pour s'excuser. Après tout, si il se mettait en froid avec elle, il n'aurait plus beaucoup de gens avec qui s'amuser, parler ou encore pleurer. Il n'avait pas beaucoup d'amis ici. Il faut dire que son frère faisait tout pour le rabaisser. Même si il étaient jumeaux, Érik était beaucoup plus musclé que Nick. De plus, il savait bien mieux jouer de la musique que lui.
Les deux frère était nés dans une familles de bardes. Des vagabonds qui voyage à travers les royaume pour gagner leur vie. Mais son ancienne famille ne jouait pas seulement de la musique pour divertir les gens, elle en jouait aussi pour se défendre. En effet, sa famille utilisait leurs instruments de musique pour faire de la magie. Que ça soit pour endormir les gens ou pour les rendre sourds, il utilisait la musique avec finesse.
Malheureusement, Nick n'avait pas vraiment hériter du don, tandis que son frère en jouissait parfaitement. Alors si jamais il voulait se plaindre ou se retourner contre son frère, Érik n'avait qu'à souffler deux ou trois notes dans son harmonica et le tour était jouer. Nick se retrouvait sur le sol, les deux mains sur les oreilles et roué de coups de pieds par son frère. Ellen n'aurait sûrement pas laissé passer ça, mais quand il essayait de lui en faire part, son diabolique jumeau se trouvait derrière lui, près à user de la force. De plus, les moments avec sa mères adoptives se faisaient rares car la pauvre femme devenait vielle et devait se reposer souvent. Le médecin avait été clair la dessus: quand elle était fatiguée, il fallait la laisser dormir.
-À seize ans tu n'est toujours pas capable de jouer comme il faut, lui crachait souvent son frère. Tu es vraiment pathétique!
Comme il aurait aimé que sa mère soit encore là. Nick se rappelait les moments où elle le prenait dans ses bras pour le réconforté et lui chantait une berceuse. Sa mère avait toujours été courageuse et forte. Quand lui et Érik avait vue le jour, elle avait refuser qu'on sacrifie le moindre de ses enfants. Nick n'avait jamais connue son père. Il se disait qu'il les avait probablement abandonné comme les reste de la société avait fait. Sa mère était morte en essayant de faire vivre du mieux qu'elle pouvait ses deux enfant chéries. C'est Ellen, qui était en train de ramasser des champignons dans les bois, qui les avait trouvés. Elle eu pitié de la pauvre mère et décida d'adopter les deux bébés, à peine âgés de trois ans.
Nick arrêta ses recherche et sortit son harmonica de sa poche. Il tenta de jouer quelque note mais en vain. Aucune note ne concordait avec celle qui la suivait. Le pauvre garçon de ferme était désespérément nul. Une larme coula le long de sa joue. Il ne leva même pas une main pour l'essuyer. Une autre coula et ainsi de suite, il ne pouvait plus s'empêcher de pleurer. Au bout de quelque minute à sangloter tout seul, deux mains vinrent l'enlacer par derrière. C'était Séria qui était revenue pour s'excuser.
-Allons allons, tu ne vas quand même pas pleurer pour si peu?
-Ah... C'est toi, dit-il sans s'arrêter de pleurer.
-Comment ça c'est toi! Moi je viens te réconforter et toi tu m'accueille comme ça?
Nick essuya enfin ses larmes et sourit à son amie.
-Non non, ça va... Je m'excuse pour tout à l'heure.
Séria libéra le barde raté de ses bras et lui sourit à son tour.
-Bon, tu voix, ce n'était pas si difficile.
Comment resté fâché après quelqu'un qui avait un si beau sourire? Nick en était incapable. Les deux repartirent en direction de l'étable, heureux de s'être réconcilier.

///

-Bon, moi je dois y aller, dit Séria. J'ai des tâches qui m'attendent.
Elle repartit aussitôt, laissant le garçon planté seul devant la petite cabane de bois qui servait de maison pour les chevaux et les poules. Séria avait eu un petit peu plus de chance côté travail. Comme c'était une fille, Ellen ne voulait pas qu'elle s'occupe des travaux dans les champs et à l'étable. À la place, elle travaillait à la maison comme femme de ménage et c'était elle qui prenait soin de leur mère adoptive. C'est dans des moments comme celui là que Nick regrettait d'être une garçon. Quel destin cruel.
Il regarda partout autour de lui pour vérifier que tout était bien en ordre et se rassit pour respirer un peu. La journée avait été longue et il avait vraiment besoin de sommeil. À tout moment, il manquait de s'endormir et si Érik le trouvait ainsi, ça allait bardé pour lui. La dernière fois qu'il s'était assoupi au milieu d'un boulot, Nick avait eu mal au bras droit pendant au moins un bon mois. Il se rappelait encore son frère, le tenant par le collet et le lançant par terre violemment pour le « punir » d'un tel manque de respect envers les autres.
Au début, il en faisait des cauchemars, mais c'était devenue tellement fréquent que sont esprit s'habitua et il n'avait plus vraiment peur des moments comme celui là. Tout ce qu'il regrettait était la douleur intense et surtout, le malin plaisir qu'Érik prenait à le martyriser.
Ne sachant plus quoi faire pour passer le temps, il décida de faire une énième ronde pour vérifier que tout allait puis décida d'aller voir son frère directement. Cela lui vaudrait bien un ou deux coups de poings mais l'attente était presque pire. Nick n'était pas très patient. Il ne pouvait tenir plus de cinq minutes assit à rien faire et il s'ennuyait rapidement. Quand il ne trouvait vraiment rien pour s'occuper, il tentait de se pratiquer à l'harmonica mais il était si nul qu'il se cassait lui même les oreilles.
Arrivant près des champs, là où le monstre qui lui servait de frère travaillait, Nick scruta les alentours. Il n'y avait aucune trace d'Érik nul part.
-Il à due terminer de récolter plus tôt et il est aller voir comment se porte Ellen, se dit Nik. Comme si il s'en souciait vraiment.
Il se dirigea ensuite vers la maisonnette qui se trouvait tout près et entra par la porte de côté. Une fois à l'intérieur il alla jeté un coup d'oeil dans la chambre de la vielle fermière. Elle dormait à point fermer.
Séria devait être aller chercher quelque truc au village pour les traitements d'Ellen.
Résigné, il décida de retourner à l'étable et d'attendre. Même si ça l'exaspérait, il allait devoir se forcer un peu. Sortant dehors il remarqua que le sac de son amie était toujours accrocher sur le porte manteau. Bizarre... Elle ne l'oubliait jamais quand elle sortait faire des courses.
Il se mit alors en route, se disant que ce n'était probablement rien du tout. Même malgré cela, il avait la certitude que quelque chose clochait. Comme si une mauvaise odeur planait dans l'air. Il accéléra le pas de plus en plus inquiet.
Une fois devant la grange, ses mauvaises intuitions lui donnèrent raison.
-Non Érik, je t'en pris, ne me fait pas de mal! cria une voix féminine.

Chapitre 2

-Est-ce que la petite frimeuse aurait peur de moi?
Séria se trouvait accroupie par terre. Érick était devant elle, une ceinture de cuir à la main et toujours accompagner de son fidèle sourire sadique. Il leva son arme improviser et frappa la jeune fille au visage, lui laissant une grosse marque rouge au passage.
-Non... Je t'en supplie... Arrête... Dit-elle en commençant à verser une larme.
Érik vint pour frapper Séria une nouvelle fois mais quelque chose retint son bras.
-Érick arrête! Elle ne t'as rien fait.
Prenant son courage à deux mains, Nick avait empêcher son frère de blesser son amie de nouveau. Il savait que ça lui couterais cher, mais il préférait être blesser lui plutôt que voir sa meilleure amie souffrir.
-Oh! mais on dirait que tu en veux aussi.
D'un coup de coude dans le ventre, Érik envoya son frère valser avec les fleurs. Nik avait à peine repris son souffle qu'il sentit une douleur intense dans les côtes. Érick lui donnait des coups de pieds à répétition. Il se pencha ensuite et pris le mentons de Nick.
-Tu n'apprend donc jamais? Pourquoi est-ce que j'ai hériter d'un frère aussi pathétique...?
Il soupira puis se releva. Avant de partir, il lui flanqua un dernier coup de ceinture, puis se tourna vers Séria.
-Je n'en ai pas finit avec toi. La prochaine fois sera bien pire.
Il s'en alla en riant.
Nick,toujours couché sur le sol, était dans les vapes et avait de la difficultés à respirer. Il sentit quelqu'un le soulever et le poser plus loin sur un petit tas de foins. Il entendit une voix lui parler, mais il ne compris rien de ce qu'elle lui disait. Tout était floue. Il avait l'impression d'être dans un rêve. Après quelque instants, il commença à reprendre ses esprits et reconnue Séria qui se tenait debout devant lui.
-Nick est-ce que ça va?
Il ouvrit la bouche et, un peu hésitant, il répondit:
-Je... crois...
Seria frappa le mur de la grange avec son point.
-Satané Érick! Si j'étais plus forte, je lui ferai regretter d'être né!
Elle sortis de la grange, pris un morceeau de bois et se mis à frapper sur un rocher de toute ses forces. Une fois calmer, elle revint près de Nik et s'assit à côté de lui.
-Ouf... Ça fait du bien.
Elle lui prit le bras et appuya sa tête contre son épaule.
-Nick... Partons d'ici...
Un peu surpris, il ne répondit pas tout de suite.
-Qu... Quoi?! Et tu veux aller où?
-Je ne sais pas. Je veux juste qu'on arrête de souffrir, qu'on vive librement.
-Et Ellen? On ne peut pas la laissé toute seule avec mon frère.
Seria ne répondit pas. Elle regarda par la fenêtre d'un regard triste. Plusieurs longues minutes s'écoulèrent sans que personne ne parle, puis le garçon brisa le silence.
-Seria?
-Ellen est mourante... Dit-elle en se mordant les lèvres. Il ne lui reste plus très longtemps à vivre...
Nick ouvrit les yeux en grand comme qu'il ne la croyait pas.
-C'est... C'est impossible... Elle ne peut pas... Mourir!
Une larme coula sur la joue de la jeune fille. Elle pencha sa tête vers le bas et éclata en sanglot. La gorge serrée, Nick pris la main de Seria, la leva et la pris dans ses bras.
-D'accord... Partons d'ici. Après tout, nous sommes adulte maintenant, Ont peut se débrouiller.

///

-Je pense que je n'ai rien oublier.
Assis sur le lit de sa chambre, Nick rangeait le peu d'affaires qui lui appartenait dans un vieux sacs de toiles. Il revérifia une dernière fois pour être sûr et remarqua qu'un des objets qui lui était le plus précieux manquait à l'appelle. Il se mit à paniquer et chercha partout dans la pièce. Il vira la chambre sens dessus dessous sans succès.
-Mais où peut-il bien êtres?
Il continua de chercher, résolue à ne pas partir sans lui, puis eu un flash.
-Non... J'espère qu'il ne me l'a pas pris.
Nick sortit de sa chambre en courant et se dirigea vers celle de son frère. Une fois devant la porte, il l'ouvrit un peu et regarda à l'intérieur. Érick, comme tous les après-midis, faisait sa sieste « Bien mérité ».
-Comme si il travaillait vraiment... Se dit Nick.
C'est alors qu'il le vis. Sur le dessus de la table de chevet, se trouvait le demi-coquillage que Seria lui avait donné pour scellé leur amitié. Elle avait garder l'autre partie et lui avait dit:
-Si jamais il venait à te manquer des forces, prend se morceaux de coquillage et pense à moi. Tu pourras alors venir à bout du pire des monstres.
Même si il disait qu'il le reniait, Nick considérait vraiment Seria comme sa sœur. Elle était si gentille et tellement courageuse. Elle avait ses défauts dont certains qui l'irritaient au plus haut point, mais que voulez vous? Personne n'est parfait.
Nick ouvrit la porte complètement en faisant attention de ne pas faire de bruit. Il avança ensuite vers le coquillage le plus silencieusement possible. Une fois à côté de lui, il le pris doucement et le mit dans sa poche. Il repartit tout en restant silencieux. Malheureusement, ce ne fut pas suffisent.
-Et où crois tu aller comme ça?
Nick se figea sur place et se retourna. Il se tenait droit comme un i et regardait droit devant lui.
-Nul part...
-Et qu'est-ce que tu faisait?
-Eh bien... Nick réfléchissait à toute vitesse.
Il fallait qu'il trouve quelque chose rapidement sinon il était dans la mouise jusqu'au cou.
-Je venais m'assurer que mon frère chérie se portait bien...
Érick sourit puis se recoucha dans son lit.
-Je vois que tu as enfin compris qui était le chef ici! Maintenant déguerpis!
Il ne se le fit pas dire deux fois. Une fois sortis de cette endroit infernal, il se coucha contre le mur et soupira. Finalement, son frère possédait bien une qualité. Celle d'être très naïf. Nick avait utiliser cette qualité, car dans le cas d'Érick, il s'agissait bien d'une qualité, à plusieurs reprises.
-Bon, il est temps que je rejoigne Seria dehors.
Il alla chercher son sac dans sa chambre, y rangea le coquillage et partis en fermant la porte. Avant de partir, il s'arrêta devant la chambre d'Ellen, Et alla s'agenouiller près de son lit. Nick pris la main de la vielle dame et la colla sur sa joue. Cette femme c'était occupé de lui alors que les autres le rejetaient comme la peste. Il ne put s'empêcher de verser quelque larmes.
-Mon seul regret seras de ne pas pouvoir assister à tes obsèques... J'espère que tu seras plus heureuse de l'autre côté...
Il se leva, toujours en train de pleurer et sortit de la petite chaumière d'un pas lent. Une fois à l'extérieur, il vit Seria, adosser à un arbre, qui l'attendait. Dès qu'lle l'aperçus, Seria vint le rejoindre en faisant des grands pas.
-Mais dit donc, tu en à mis du temps!
-Désoler... Érick m'avais pr... Nick hésita puis décida de ne pas tout lui dire. Je suis aller dire au revoir à Ellen.
Seria ne se laissa pas prendre mais ne posa quand même aucune question.
-Je regrette seulement de ne pas pouvoir voir la face d'Érick quand il va s'apercevoir que nous ne sommes plus là, dit-elle.
Nick sourit,
-Bon allons-y! Rajouta-t-elle.

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